Tout comme il y a 2 ans, je me suis aligné sur la course Escher Kulturlaf 2018 pour la 3ème fois. Si je reviens sur cette course pour la troisième fois, c’est que l’organisation est aux petits oignons.
Escher Kulturlaf 2018
Avant course
On ne change pas un timing qui gagne, on arrive assez tôt sur le site de la course afin de procéder au retrait des dossards et pour se préparer tranquillement.
Cette année, mes 2 enfants participent à la course des enfants et moi je participe au 10km. Mon épouse prendre son poste de lionne (elle se préserve pour son premier trail la semaine prochaine 😉 )
La course enfant est assez courte mais tous les enfants sont fiers avec les t-shirts donnés par l’organisation et la médaille à la fin.
La course
17h15, le départ du Escher Kulturlaf 2018 est lancé avec 15 petites minutes de retard. Durant l’attente dans la zone de départ, j’avais déjà pu repérer quelques têtes connues. Je savais que cela allait aller très vite… et cela a été le cas.
Il y a quelques jours, je publiais le déballage de la tenue Ekoi Belgique Limited Edition. Aujourd’hui, j’ai pu réaliser le test de celle-ci.
Vue les conditions climatiques lors de mon départ ce matin, je n’ai pas roulé uniquement avec le cuissard et le maillot 🙁 Les genouillères et le coupe vent (pour le départ) étaient de la partie. Avec mon départ en vacances (sans vélo 🙂 ), je ne pense pas que je pourrais la tester dans des conditions plus optimales.
Tenue Ekoi Belgique Limited Edition
La peau
Ma première interrogation lors de mon test de la tenue Ekoi Belgique Limited Edition, c’était cette fameuse nouvelle peau. Effet placebo ou réelle avancée technique, j’ai trouvé cette peau très confortable. Difficile d’expliquer mon ressenti mais j’ai réellement senti quelque chose de différent.
Le confort
La tenue en elle même semble plus légère que les versions des années précédentes. Il est vrai que le textile utilisé pour les bretelles du cuissard sont totalement différentes, ce qui renforce cette sensation de légèreté. C’est souvent un point qui me gène au fil des kilomètres: les bretelles. Ici, j’ai même cru qu’il y en avait pas.
Le maillot en lui même paraît très léger sans pour autant être au niveau de la collection Ultra Light de la marque. Cette sensation est encore plus visible quand on met quelque chose dans les poches arrières. Le textile s’étend facilement tout en étant très FIT.
Au top?
A première vue: oui. Mais mon impression de longues manches sur le cuissard n’a pas pu être testé avec la présence des genouillères. En effet, à cause des genouillères, les manches ont tendances à remonter. Je reviendrais donc sur ce sujet plus tard.
Conclusion
Une fois de plus, je ne regrette pas d’avoir attendu la nouvelle gamme nation. J’ai pu toutes les tester depuis l’existence de cette gamme et on monte vraiment en qualité sans vraiment en impacter le prix (merci aux soldes bien entendu)
Si vous voulez en savoir plus sur ce produit, cliquez ici.
Aujourd’hui, j’ai pu déballer la trifonction Hydro Suit LD nouvellement sortie chez Ekoi. J’ai pu profiter de l’offre suite à la victoire de Alaphilippe pour l’avoir à un prix intéressant.
Ayant gouté à une trifonction longue manche dans mon ancien club, je voulais à nouveau une trifonction avec des manches.
Trifonction Hydro Suit LD
Confort
En respectant comme il faut le guide des tailles, la trifonction Hydro Suit LD se met comme un gant. Rien à redire sur la coupe. Attention, ne soyez pas surpris sur la taille recommandé par le guide des tailles, j’ai du prendre du XXL alors que je prends habituellement du M ou L chez Ekoi.
Matière
Les textiles utilisés contribuent à son confort. Le premier test en condition réelle me permettra de voir son efficacité dans l’eau ainsi que sa facilité à sécher très vite.
Les alvéoles sur la partie haute de la trifonction Hydro Suit LD me pousse à croire qu’elle est suffisamment aérée.
Le truc en plus
Mes anciennes trifonctions avaient toujours des poches dans le dos. Celle-ci propose une poche sur chaque cuisse. On peut y placer sans aucun souci un gel.
Encore une fois, le test en condition réelle me permettra de voir si c’est vraiment différent. Personnellement, je pense que cela peut être pas mal lors de la transition pour placer facilement nos gels dedans au lieu de chercher après la poche arrière…. Wait and see donc.
Conclusion
Nul doute qu’on est loin des trifonctions proposées par le passé chez Ekoi. J’en étais déjà très content, donc j’imagine qu’il en sera au moins de même avec celle-ci.
Hâte de faire le test final sur le Challenge Geraardsbergen avec quelques pré-tests sur des formats plus courts avant.
Cliquez ici pour avoir tous les détails sur la trifonction Hydro Suit LD … et éventuellement craquer 🙂
Il y a quelques semaines, j’écrivais un article sur le déballage des manchons Booster Elite de chez BV Sport. Depuis, j’ai plusieurs courses à mon actif et plusieurs heures d’entrainement. Voici enfin mon test.
Booster Elite de chez BV Sport
Après quelques semaines
Tout comme lors du test réalisé directement après mon déballage, ma sensation est toujours la même : ils se placent très facilement et sont très confortables. On se demande même s’ils vont faire réellement effet tant ils se laissent oublier.
Au niveau utilisation, j’avais déjà une certaine satisfaction de la marque que j’utilisais avant. Du coup, il m’était impossible de perdre cela. Avec les Booster Elite, je n’ai rien perdu, j’ai même plutôt gagner au change.
Bien que la partie diminution de la fatigue musculaire est quelque chose que j’ai découvert en portant des manchons de compression (toutes marques confondues), le point réduction des vibrations est importante pour moi.
L’aspect « réduction des vibrations » est, il y a 3 ans maintenant, le point qui m’a poussé à me renseigner sur les manchons de compression. Suite à une périostite tibiale, mon médecin sportif m’avait recommandé de me documenter sur ce point.
En terme de fatigue musculaire et de vibration, je retrouve exactement ce que je cherchais. Après 2 semi-marathons (l’un sec et l’autre dans un triathlon), l’effet ressenti est réel. Là où je trouve du changement, c’est que le confort fait que l’on oublie la présence des Elite Booster.
Pour en savoir plus sur la technique ou l’aspect scientifique des BV Booster, n’hésitez pas à vous rendre sur la page dédié du site BV Sport
Conclusion
Si vous avez fait le tour des marques, n’hésitez pas à tester les Booster Elite de chez BV Sport. Vous allez découvrir un confort qui n’est pas comparable aux autres marques.
Si vous souhaitez en savoir plus à ce sujet ou vous en procurer, je vous invite à faire un tour sur le site Alltricks.
Il y a quelques semaines encore, ma participation au Fitbit Semi de Paris 2017 n’était pas du tout prévu. Le focus était uniquement sur le Marathon de Paris. Mais comme d’habitude, les choses changent très rapidement.
Une connaissance avait gagné un concours mis en place par Fitbit mais ne pouvait y aller. Il m’a donc donné ce pack VIP Fitbit
Fitbit Semi de Paris 2017, l’avant course
En plein plan d’entrainement Fréquence Running pour le marathon de Paris, je n’avais pas du tout imaginé porter un dossard sur un semi marathon. Il va donc de soit qu’aucune préparation spécifique n’a été organisée.
Je prévois donc d’aborder cette course au feeling. Les 4-5 premiers kilomètres me permettront de voir quelle allure j’allais pouvoir tenir. Secrètement, j’espère tenir l’allure du semi de Disneyland Paris: une allure de 4min07sec au km (cliquez ici pour lire mon compte rendu)
Fitbit Semi de Paris 2017, DDay
Le jour est arrivé…. et la pire des météos aussi. La météo du jour annonce pluie, pluie, du vent, pluie, pluie, du vent,…. Bref tout ce qui n’est pas des plus agréables lors d’une course.
La journée commence plutôt bien avec le petit déjeuner offert par Fitbit. En plus d’être reçu comme des rois, on pourra y laisser nos affaires. Que demander de mieux pour aborder cette journée?
Grâce à mon temps référence, je peux prendre part dans le tout premier SAS. Cela va surtout me permettre de ne pas tenir trop longtemps dans le froid et espérer démarrer avant la pluie.
Fitbit Semi de Paris 2017, La course
9h, le départ est donné. Comme je l’imaginais, cela part très vite. Il faut savoir que le temps référence était de 1h25 sur semi (ou temps équivalent sur 10km). C’est donc dans une masse impressionnante que j’avale les premiers kilomètres.
Au bout de 3-4km, la pluie commence à faire son apparition mais mon moral est là… et bien là, je pense que je peux tenir le 4 min au kilomètre. Je tente donc le tout pour le tout pour tenir cette cadence.
Les kilomètres se suivent et se ressemblent. Le vent et la pluie deviennent nos adversaires directs. Malgré ce temps, il y a pas mal de monde le long de la course (un semblant de marathon de Paris avant l’heure). Vers le 9ème kilomètre, j’ai droit aux encouragements de ma petite tribu. Le corps répond bien mais je sens que le froid commence à m’engourdir les bras.
Je continue à m’alimenter correctement et tout se passe au mieux.
Arrivé aux 18-19km, le froid laisse place à l’euphorie de la ligne d’arrivée. J’accélère et passe la ligne d’arrivée après 1h24 de course…. ce qui donne mon nouveau record sur semi. A la différence de mes précédents semis, je suis encore en forme et je me dis que mon plan d’entrainement Frequence Running m’a permis de m’améliorer sur tous les domaines.
Une fois la ligne d’arrivée et avoir rejoints ma petite famille, on fonce vers l’endroit de la réception Fitbit. Le buffet « petit-déjeuner sportif » a fait place à un buffet avec du chaud, du sucré,…. enfin tout ce qu’il faut pour se remettre sur pied.