La Corrida de Marbehan 2025 arrive même pas une semaine après le marathon de Bruxelles. C’est donc avec une réelle inconnue que j’aborde cette corrida.
Corrida de Marbehan 2025
Avant course
A part une sortie vélo en mode cool , depuis le marathon de dimanche, je n’ai rien fait, même pas une petite marche.
Au vue de la difficulté du parcours de ce fameux marathon, je ne voulais pas reprendre trop vite. Même si, je l’avoue, la participation à cette corrida est clairement trop tôt. D’un autre côté, j’y vais surtout pour l’ambiance. Meilleur des motivations.
La météo annoncée est top en plus, que demander de mieux pour une bonne soirée?
Jour J
Arrivé sur place, constat simple: il y du monde , beaucoup , énormément de monde.
En arrivant dans la salle, files de dinge pour s’inscrire avec les 2 départs simultanés. Plus on approche du moment du départ et plus on arrive à la conclusion attendue: on va démarrer en retard. En écrivant ces lignes , je me rends compte que j’ai écris la même chose que l’année passée… Je ne vais donc pas revenir sur ce phénomène récurrent, on va croire que je ne suis pas content 🙂
La course
C’est donc en retard que le départ de la Corrida de Marbehan 2025 est lancé. Cette année, on démarre à quelques dizaines de mètre de la salle. On arrive assez vite sur un tournant à angle droit mais j’ai l’impression que cela passe bien. Ce tournant est suivi du long faux plat montant.
La masse de participants s’allonge sur cette montée pour ensuite arriver sur un parcours avec quelques changements de direction. Les routes sont connues, c’est large, c’est vraiment bien avec autant de monde (vous voyez que je peux être positif aussi 🙂 ).
On arrive ensuite sur un premier passage à proximité de la salle avant de s’aventurer dans le camping. A l’entrée du camping, il semble que l’organisateur n’a pas tenu compte des 2 chutes de l’année passée avec le dos d’âne mal renseigné. Il y a bien un bénévole mais aucun avertissement.
Le parcours dans le camping a un peu changé. On reste maintenant sur des chemins non asphaltés mais fini le passage dans le petit chemin très étroit. Changement très appréciable. La météo clémente des derniers jours a laissé les chemins très praticables.
A la sortie du camping, une bénévole donne de la voix pour signaler le dos d’âne. Ah ben non, ce n’est pas un bénévole mais mon épouse (aka la lionne) qui a pris ce rôle que l’organisateur ne semble pas se rendre comptes que ce simple passage peut être dangereux.
J’aborde le deuxième tour avec un corps qui répond bien mais avec les pieds totalement gelés. Drôle de sensation mais il faut faire avec. Je parviens à garder le cap, à garder le rythme. Je remontre à nouveau un paquet de participants.
Passage à nouveau par le camping avec toujours la lionne en mode agent de sécurité.
Cette version du parcours est vraiment bien, reste à vraiment signaler comme il se doit l’entrée du camping et il sera parfait.
L’arrivé
| Elapsed Time | Moving Time | Distance | Average Speed | Max Speed | Elevation Gain | Calories Burned |
|---|---|---|---|---|---|---|
|
00:18:07
hours
|
00:18:07
hours
|
4,81
km
|
3:46
min/km
|
2:43
min/km
|
32,00
meters
|
326
kcal
|
Je passe la ligne d’arrivée après 18min 03sec de course (temps officiel) et me classe 15ème sur 351 finishers. Niveau catégorie, je me classe 2ème.
Clairement, premier surpris de ce classement. Il semble que la pause d’une semaine a suffit.
Peu de temps après, c’est Noa qui passe la lignée d’arrivée. J’ai comme une impression que courir avec une montre lui permet de gérer mieux sa course. Il ne s’entraîne pas plus que cela et pourtant à une très belle courbe d’évolution.
La suite
Fin d’année rythme avec corridas et je ne vais pas changer. Vendredi, on a prévu de tenter la corrida de Bourcy qui fait partie des corridas du Pays de Bastogne.
Cela sera l’occasion de découvrir une autre organisation et d’autres coureurs.
La reprise des entrainements plus soutenus est prévu le 1er décembre avec comme point de mire le marathon de Vienne.







































